12 Comments

  1. Jeff-92000
    23 février 2014 @ 0 h 47 min

    rabbi jacob

  2. Théo van Gogh
    23 février 2014 @ 1 h 22 min

    ça date de la fin du XIXe où régnaient les revendications nationalistes dans toute l’Europe et plus loin, et en même temps, pour la 1ère fois, l’idée que les Juifs seraient un peuple.
    Mais les 1ers sionistes étaient laïcs et même souvent athées, quant aux religieux israélites, ils s’opposaient (et encore aujourd’hui) à l’existence d’un État hébreu avant la venue du « Messie ».

    @al islam est d’accord avec moi

    lien sur « Comment fut inventé le peuple juif »

  3. Al-Islam
    23 février 2014 @ 2 h 04 min

    Theodor Herzl Est Le Père Du Sionisme ; Cependant ; L’élan Sioniste De Divulguer L’État D’Israël Constitue Une Jacquerie Contre L’opiniâtreté Divine, Contre La Torah, Un Coup D’État Qui a Occasionné Une Houle Sempiternel De Sévices Et De Désolation. À L’occurrence De L’érection De L’État Apostat, Les Juifs Fidèles à La Torah Larmoient Cette Manœuvre De Déraciner Les Préceptes De La Torah, De Métamorphoser Les Juifs En Une « nation laïque » Et D’abréger Le Judaïsme Au Nationalisme.

    @ Théo van Gogh : Parfaitement Mon Frère !!!!!!

  4. Nac
    23 février 2014 @ 2 h 25 min

    Une origine douteuse.

  5. Ismail R
    23 février 2014 @ 3 h 06 min

    50 ans avant JC il avez un autre nom crée dans le but de trouvé le royaume d’israil il a combattue le christianisme a ça naissance aussi l’islam il a un fils appeler Fran Masson est il serre toujours le même but

  6. Monika
    23 février 2014 @ 3 h 18 min

    L’origine du sionisme, ce sont les Chrétiens qui voulurent se débarrasser des Juifs d’Europe. Ils les ont transférés de gré en Asie au nom du sionisme et leur pompent tout le soutien nécessaire, dans l’espoir qu’ils y restent là-bas en Orient.
    Des idées, ils en ont les Européens chrétiens !
    ———-2ème réponse
    Des sources ? Mais tu ne lis pas dans l’histoire et tu ne vois pas ce qui se passe ? Quelle autre injustice meurtrière dans le monde entier, hormis celle des sionistes en Palestine occupée, pourrait rester impunie sans le soutien des Occidentaux chrétiens? Milosowitch, Saddam Hussein, Iddi Amin, Noriega, les Rwandais….etc…etc., qui n’avaient même pas atteint le dixième des crimes israéliens contre toute la Palestine et contre tout le peuple palestinien, ne furent pas traduits devant la justice occidentale chrétienne ? Lorsque les Occidentaux chrétiens avaient décidé de faire valoir le respect du droit et de l’équité, bien qu’elle fût borgne, ils l’ont fait. Tandis que, au sujet des crimes sionistes, ils ne permettent à la communauté internationale, même pas de les mentionner sur les feuilles de l’ONU.
    Une telle iniquité n’est possible à exécuter que par le biais des Occidentaux chrétiens dont la valeur primaire n’est autre que l’argent et le profit.
    ——————@Raoul S
    Tu es de ces Juifs prêteurs d’argent en échange d’objets de valeur. Lorsqu’il s’agit d’acquérir l’objet, tu mets sa valeur au néant, et lorsque tu le vends, ça devient du super, unique et introuvable.
    Soixante ans de tuerie de Palestiniens par tes frères israéliens, et tu as compté les morts à 30 000 Palestiniens tués par « les caresses » des Juifs. Mais, durant les cinq ans de tuerie des Juifs par les Nazis, tu as eu aussi l’audace de compter les morts à 6000.000, mais, peut être beaucoup plus de six millions, du moment que l’argent allemand coule à flots.
    Tu ne respectes même pas les morts. Honte à toi et à cette mentalité criminelle, meurtrière, inhumaine et de basse facture.

  7. Vin nouveau
    23 février 2014 @ 4 h 08 min

    Salut!
    Voici l’origine du « ‘ sionisme « . C’est long, mais c’est bon à savoir…
    Théodore (Binyamin Zeev) Herzl, le père du sionisme politique moderne, est né à Budapest en 1860.
    Elevé dans l’esprit des Lumières judéo-allemandes de l’époque, il apprit à apprécier la culture laïque. En 1878, sa famille s’installa à Vienne et, en 1884, Herzl obtint son doctorat en droit, décerné par l’Université de Vienne. Il entama une carrière d’écrivain, d’auteur dramatique et de journaliste, et devint le correspondant à Paris du Neue Freie Presse, le journal libéral le plus influent de Vienne.
    C’est à l’université de Vienne, en 1882, qu’Herzl rencontra pour la première fois l’antisémitisme qui allait déterminer sa vie, ainsi que le sort des Juifs au XXe siècle. Par la suite, pendant son séjour à Paris en tant que journaliste, il fut directement confronté à ce problème. A l’époque, il considérait le problème juif comme une question sociale et écrivit une pièce de théâtre intitulée Le ghetto (1894) dans laquelle les solutions de l’assimilation et de la conversion étaient l’une et l’autre rejetées. Il espérait que Le ghetto conduirait à un débat et, en fin de compte, à une solution fondée sur la tolérance et le respect mutuels entre chrétiens et juifs.
    En 1894, le capitaine Alfred Dreyfus, un officier juif de l’armée française, fut accusé à tort de trahison, suite à de fausses lettres compromettantes fomentées par un général antisémite protégé par sa hiérarchie. Observant les foules hurlant « Mort aux juifs ! », Herzl en déduisit qu’il n’existait qu’une seule solution aux agressions antisémites: l’immigration en masse des Juifs dans un pays à eux. L’Affaire Dreyfus devint ainsi l’un des éléments déterminants de la genèse du sionisme politique.
    Herzl arriva à la conclusion que l’antisémitisme était une donnée immuable, bien ancrée dans la société humaine et non résorbée par l’assimilation. Il réfléchit longuement à l’idée d’une souveraineté juive et, sans craindre de s’exposer au ridicule auprès des dirigeants juifs, publia, en 1896, Der Judenstaat (L’Etat juif). Il y soutenait que le problème juif n’était pas d’ordre individuel, mais national.
    Les juifs constituent un peuple, et leur situation désespérée pourrait se transformer en une force constructrice par la création d’un Etat juif avec l’assentiment des grandes puissances. Il considérait la question juive comme une question politique internationale devant être traitée sur la scène politique internationale. Herzl proposa un programme concret de collecte de fonds auprès des Juifs du monde par un organisme qui œuvrerait en vue d’atteindre cet objectif. Lorsqu’il fut par la suite constitué, cet organisme prit le nom d’Organisation sioniste. Herzl envisageait le futur Etat sur le modèle européen de l’époque, c’est-à-dire une société moderne et éclairée. Par nature, cet Etat serait neutre, aspirant à la paix et laïc. Les juifs constituent un peuple, et leur situation désespérée pourrait se transformer en une force constructrice par la création d’un Etat juif avec l’assentiment des grandes puissances. Il considérait la question juive comme une question politique internationale devant être traitée sur la scène politique internationale. Herzl proposa un programme concret de collecte de fonds auprès des Juifs du monde par un organisme qui œuvrerait en vue d’atteindre cet objectif. Lorsqu’il fut par la suite constitué, cet organisme prit le nom d’Organisation sioniste. Herzl envisageait le futur Etat sur le modèle européen de l’époque, c’est-à-dire une société moderne et éclairée. Par nature, cet Etat serait neutre, aspirant à la paix et laïc.
    Les idées d’Herzl furent accueillies avec enthousiasme par les masses juives d’Europe orientale, mais les dirigeants juifs furent moins séduits. Herzl n’en réunit pas moins, à Bâle, du 29 au 31août 1897, le premier congrès sioniste, qu’il présida ; ce fut le premier rassemblement trans-national juif sur une base nationale et laïque. Les délégués adoptèrent le programme de Bâle, le programme du mouvement sioniste, et déclarèrent que « le sionisme aspire à établir en Palestine, pour le peuple juif, un foyer garanti par le droit public ». A cette occasion, fut créée l’Organisation sioniste, l’instance politique du peuple juif, et Herzl fut élu son premier président.
    Herzl mourut en 1904 d’une pneumonie et d’une faiblesse cardiaque causée par le surmenage et ses efforts incessants en faveur du sionisme. Mais, à ce moment-là, le mouvement avait trouvé sa place sur l’échiquier politique mondial. En 1949, la dépouille de Herzl fut amenée en Israël et réinhumée sur le mont qui porte son nom, à Jérusalem.
    Herzl est l’auteur de la phrase célèbre « si vous le voulez, ce ne sera pas une légende » qui devint la devise du mouvement sioniste. Bien qu’à l’époque, personne n’eut pu l’imaginer, le mouvement sioniste, exactement cinquante ans après le premier congrès sioniste, conduisit à l’instauration d’un Etat d’Israël indépendant.

  8. La vierge Marie est musulmane
    23 février 2014 @ 4 h 29 min

    Et moi je suis d’accord aver Théo Van Gogh et avec al-islam !!

    J’ajouterai que c’est l’Agleterre qui les a aidé dans leurs projet pour rendre la monnaie aux musulmans qui l’ont chassé de l’inde !!

    Y a t-il un malheur survenu sur terre que l’Angleterre n’ait pas un rêle dedans ??

    Aucun à ma connaissance !!

    Ramadan karim

  9. kjenforce
    23 février 2014 @ 4 h 43 min

    En fait, le sionisme est à la base une idée anti-juive de Théodor Herzl. Il détestait le judaïsme et ceux qui le pratique alors au début il voulait que tous les juifs deviennent chrétiens pour pouvoir s’intégrer. Mais avec l’affaire Dreyfus, il a vu que cela ne se fera jamais. Alors, il a eu l’idée d’une nation « juive » (hébrause en fait), comme cela le peuple n’aurait plus besoin du judaïsme pour qu’il y ait une cohésion. A l’époque et jusqu’à la création de l’etat sioniste, la majorité des rabbins était totalement opposés à cet idée que presque tous savaient donc anti-religieuse.

    Pour, plus de détails, voir les sources.

    regarde comment les sionistes traitent les rabbins antisionistes :
    http://www.dailymotion.com/video/x68e9q_des-juifs-attaquent-violemment-des_news
    http://www.dailymotion.com/video/x45itz_sionistes-attaquent-une-synagogue_politics

  10. celtus
    23 février 2014 @ 5 h 33 min

    Surtout dans la tete du musulman qui s’en fait beaucoup de film

  11. Raoul S
    23 février 2014 @ 6 h 28 min

    Je ne crois pas qu’il faille s’arrêter à Herzl pour trouver les origines du sionisme .Car pour moi un sioniste c’est un juif ou un non juif qui considére cette communauté comme un peuple et non pas uniquement comme un groupe religieux . Or il y en a toujours eu dans l’histoire meme si parfois ils ont été trés trés minoritaire un peu comme maintenant . Quand aux personne qui accusent les juifs des pires crimes jamais commis par eux sur le peuple palestinen , il faudrait savoir sur qu’elle chiffre concret il se base. Car si les juifs excellent dans de nombreux domaine ils ne sont apparament pas trés doué pour commettre un génoçide . Pour preuve le Rwanda : 1 millions de morts en un mois avec des machettes ; la palestines moins de 30 000 morts en 60 ans alors qu’Israel a un armement qui vas du pistolet jusqu’aux bombes atomique en passant par les chars d’assaut et des avions.

  12. Citrouille
    23 février 2014 @ 7 h 11 min