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  1. Cubytus
    21 novembre 2013 @ 5 h 00 min

    La réponse dépend des villes visées. Dans la plupart des villes des pays développés, le transport en commun est suffisamment développé lui aussi pour que le besoin réel d’un citadin pour une voiture soit quasiment nul. L’air peut être rendu irrespirable en ville par les citadins qui prétendent justement avoir « besoin » d’une voiture, mais ne s’en servent pas à pleine capacité, mais seulement pour se rendre au travail. La pollution engendrée ne sert donc, au final, qu’à déplacer une seule personne d’un point A à un point B, la même chose que le vélo fait, ou qu’un métro ou un bus font.

    L’approche politique est probablement le fait qu’une personne assez aisée pour s’offrir un moyen de locomotion privé avec toutes les dépenses impliquées (assurance, essence, achat) a toujours un petit quelque chose qui lui reste pour payer le parking, car cela signifie qu’elle bénéficie d’un revenu régulier.

    La possibilité d’acheter n’est pas restreinte car il s’agit d’une responsabilité individuelle; les gens en âge de conduire sont censés avoir suffisamment de maturité pour savoir ce qu’ils peuvent et ce qu’ils ne devraient raisonnablement pas acheter, et a fortiori de savoir où mettre leur voiture.