Question: Quels sont les facteurs qui favorisent la réussite ou l’échec d’un mariage mixte ou bi-culturel…?
Quels sont les facteurs qui favorisent la réussite ou l’échec d’un mariage mixte ou bi-culturel…? : Douce soirée…
Réponse:
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mamdomi
14 août 2013 @ 5 h 03 min
Les autres !! et parfois aussi malheureusement la famille dans le cas d’un échec.
##pour Jean lou###
14 août 2013 @ 6 h 01 min
le respect de l autre
de sa culture
de son éducation
ne pas essayer de lui imposer certains changements pour effacer son identité bref l aimer tel qu il est
voilà
Jupiter43
14 août 2013 @ 6 h 01 min
Si l’on s’en tient à des facteurs intrinsèques (donc en faisant abstraction des éléments hors couple : société, famille, etc …)
il y a deux facteurs importants : la complémentarité dans certains domaines, et aussi les projets communs.
Sous entendu, il est certain que les concessions à faire de part et d’autre seront sans doute plus importantes que dans un mariage entre cousins.
Les points importants seront sans doute à définir par le couple lui-même, en fonction de leurs besoins propres.
Il sera par exemple impossible à un agnostique ou à un athée, d’épouser une musulmane pratiquante.
Par contre, si la religion n’est importante ni pour l’un ou pour l’autre, ou si l’un des deux se convertit, le problème est réglé..
Donc en guise de conclusion rapide, on peut poser l’équation que si les deux ne sont pas bloqués d’une manière quelconque sur le plan psycho, et si les conditions sont favorables à une entente quasi totale sur le quotidien, les problèmes rencontrés seront toujours résolus en faveur du couple (et éventuellement des enfants)
slive2007
14 août 2013 @ 6 h 08 min
Besançeno!!!
boubou c
14 août 2013 @ 6 h 54 min
la presence et l’acte positif egal reussite son contraire est l’echec
Vulpes Zerda
14 août 2013 @ 7 h 52 min
Encore une question bien vaste. Au delà des idées reçues et des stéréotypes je dirais que la réussite ou l’échec dépendent surtout de la volonté des deux partenaires de s’investir dans l’acceptation de la culture de l’autre, sans a priori, sans défiance, sans sentiment de supériorité. Cela ne signifie pas renoncer à sa propre culture, cela signifie vivre en symbiose et non simplement à côté. Cela nécessite des efforts mutuels, un intérêt toujours vif pour ce qui nourrit l’autre. In fine je dirais, qu’il faut aussi apprendre dans la recherche d’un juste milieu ou d’une zone d’équilibre à tenir ses distances avec ce qui dans sa propre culture peut nuire a la stabilité du couple. Si on ne fait pas cela on montre alors que le culturel prend le pas sur le ciment qui unit le couple l’affection et l’amour.