Qu’est ce qu’un parent doit faire pour que ses enfants restent soudés (s’aiment mutuellement)?
: Dans certaines familles il ya la rivalité entre les Enfants ou une mésentente. Des Frères qui ne s’aiment pas, des soeurs qui ne s’aiment pas, des enfants qui sont Chiens-et-Chats. Alors qu’ils viennent des mêmes parents.
Ce qui n’est pas bien à mon avis car ils auraient pu faire beaucoup de bonnes choses ensemble et même leurs enfants aussi auraient mieux profiter de leurs relations de parenté s’ils s’entendaient bien. Et ils ne penseraient pas vendre tôt ou tard les héritages que leur ont légués les parents( si c’est pas vraiment nécessaire).
Alors que doit faire un parent pour maintenir l’entente entre ses enfants. Pour que ses enfants ne soient pas rivaux, des enfants qui s’entendent bien, qui s’aiment au moins, qui ont besoin de monter des projets ensemble, qui s’entraident, des enfants qui partagent le bonheur et le malheur de leur frères et soeurs.
Je vous remercie.
Réponse:
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o_robelet
26 mars 2013 @ 23 h 03 min
Les parents doivent traiter de la même manière tous leurs enfants, sans faire des différences entre eux.
Partager toutes les bons choses entre eux – si c’est un gâteau, on le divise en tant de morceaux que enfants.
On mets a cote la part de l’enfant qui n’est pas la- pour qu’il la retrouve lui aussi. Ce sont des petits choses, mais quand les enfants sont petits- ça compte.
Si ils se querellent entre eux, punir les tous- sans trouver le coupable.
sulfureuse
26 mars 2013 @ 23 h 55 min
les éduquer avec amour, leur montrer l’importance de la famille, qu’un frère et soeur doivent avoir la même importance que les parents
lui R
27 mars 2013 @ 0 h 05 min
Comme pour un couple le faite de vivre tout le jour ensemble sans arret cree des rivaliter des lassitude, la chose la plus simple a faire pour commencer et de faire dormir les enfants dans des chambres differentes, et eviter les achats separer.
De toute facon quoi qu’il arrive (sauf cas special) les freres est soeur s’aprecie et se respecte, il y a parfois des vielles rencoeurs masi meme si ils le disent pas toujours il le regrette.
celon leurs ages il est egalement possible de les faires jouer ensemble leurs faire comprendre l’esprit d’equipe et le plaisir de jouer.
Si l’un est plus agee que l’autre lui faire comprendre que laissez gagner son petit frere ou soeur est une bonne chose pour qu’il continue a jouer.
Plus l’age entre les 2 est grand et plus ils est dur de les faire s’interresse au meem chose.
Sherman
27 mars 2013 @ 0 h 07 min
Quel beau plaidoyer 🙂
J’ai grandi fils unique et ai toujours sourdement regretté une fratrie avec laquelle j’aurais pu me réconcilier, par opposition à laquelle je me serais identifié, dont la présence, aussi, m’aurait encouragé, réconforté, rassuré.
J’ai aujourd’hui deux fils de dix et huit ans. Leurs caractères sont radicalement différents, et si ont ne les voyait pas coexister, on n’imaginerait même pas qu’ils sont complémentaires. Quoi qu’il en soit, ils sont très proches, et aucune injustice ni inégalité de traitement n’a su entamer leur loyauté mutuelle.
Je me demande parfois ce qui a permis une telle entente entre eux. Et franchement, je ne vois qu’une chose : ses enfants, il faut les aimer et aller les explorer au plus profond de leur être. Je ne crois pas qu’il faille ne pas faire de différence entre eux, parce qu’ils sont différents et que le nier serait aussi un déni de leur personnalité propre. Et ce qui compte, ce n’est pas l’égalité absolue de traitement, mais l’équité dans le respect des individualités. Ils faut qu’ils sentent qu’on est avec eux, qu’on est leur allié, leur gardien, leur juge aussi. Mais avant tout, ils faut qu’ils sentent qu’on les aime. Et que l’amour ne se dilue pas quand on le voue aussi à d’autres.
Dans de telles conditions, je pense que les enfants ont toutes les motivations pour rechercher l’entraide, la complémentarité et, tout simplement, ce qu’on appelle la fraternité 🙂
guechoud_med
27 mars 2013 @ 0 h 36 min
Je crois qu’il n y a que le respect mutuel, la valorisation et la hiérarchisation de la famille la responsabilité doit être construite a partir de l’aîné(e) puis vient le(a) cadet(te) et ainsi de suite, qui permet de souder une même famille. Si les parents ont des préférences et des décisions arbitraires en faveur des petits plus tard, c’est les plus grands qui vont les ruiner.
GEORGE1
27 mars 2013 @ 1 h 15 min
ne jamais laisser entrevoir la preference pr 1 enfant, car cela est frequent ds toutes les familles.esayez au maximum de les aimer au meme degré et aussi les cherir et les sanctioner au meme degré.
un jour il agira
27 mars 2013 @ 1 h 52 min
Les enfants s’aiment et restent souder si leurs parents s’aiment bien et il sont aussi soudes.Dans une famille ou’ les parents se tiraillent ça sera difficile que les enfants puissent s’aiment, cet amour se soude de’ le bas âge, étant que parent la préférence d’un de l’enfant ne doit pas être remarquable bien sure qu’on a de préférence on peut avoir trois (3) enfants mais on aime fort un enfant c’est bien mais que les autres ne sachent pas que les parent aiment tel plus non, la’ on craie la haine . On doit montre a nos enfants qu’on les aiment, si par exemple l’un mange on doit lui dire tu as donne’ a’ ton frère ou soeur,les parler souvent vous étés une famille, vous devez vous aimes plus , les parler souvent de la famille, et éduquer une femme c’est éduquer toute une nation,une mère sage ne doit pas diviser ses propres enfants la’ non.Dans une famille ou’ Dieu règne il n y a pas la division, le temps de dialogue aussi compte comme dit << qui parle sème qui écoute récolte>>En venant au monde les enfants sont comme des oeufs dans nos mains si on fait pas attention c’est fini on les perd , quand ils sont petits sont comme de terre vierge ou’ on doit semer le tout dépend de notre semence, si c’est la bonne semence on auras de bon récolte, apprenons aussi a nos enfants les respect mutuel c’est très important. Bonne journée, merci
nanou-j
27 mars 2013 @ 1 h 59 min
Rien du tout, à part les aimer. C’est d’eux que doit partir cette décision.
Je viens de 2 familles où les frères et soeurs forment des « clans » lles cassent et en reconstruisent de nouveau.
Ma mère à tout fait pour que cela ne nous arrive pas et malgré toutes l’affection que l’on se porte on rencontre des période de grande union et de séparation.
Par contre, si on a un problème commum on saura s’unir s’en pour autant être les plus grands amis du monde.