3 Comments

  1. kalabavhana
    3 décembre 2012 @ 0 h 48 min

    Un des dispositifs serait pour commencer l’aide financière et l’accompagnement des sociétés en création.. Par exemple, pour les clients, des constructeurs ou distributeurs de bureautique, les financements proposés par les leaser tel GE capital, BNP lease, Lixxbail ….ne proposent leurs financements qu’après 2 ans minimum d’activité, alors que c’est là que les créateurs d’entreprises ont besoins d’aide..Finance et accompagnement pour engendrer une confiance de partenariat rendraient les démarrage beaucoup plus faciles…

  2. baha
    3 décembre 2012 @ 1 h 31 min

    Dans le secteur bancaire, la solidarité peut aussi s’exprimer de manière simplet efficace grâce à la finance et l’épargne solidaire. Selon le baromètre des Finances solidaires réalisé par l’association Finansol en décembre 204, 43 % des Français interrogés se disent prêts à souscrire à des produits solidaires. La Finance solidaire vise à financer des activités d’utilité sociale, lutant contre l’exclusion ou à visée d’insertion sociale ou professionnelle. Elle permet également l’accès au financement (crédit, prêt bancaire pour une création d’entreprise) de personnes qui en sont les plus éloignées. Le micro crédit, prêt de faible ampleur et de faible durée accordé à un porteur de projet en situation d’exclusion a démontré son efficacité économique et sa réussite financière. One peut prêter que ce l’on a et, si la coopération bancaire et le cautionnement mutuel permettent une répartition du risque, il reste tout de même à doter les nouveaux acteurs (ADIE, Alsace Active.) d’une capacité financière suffisante.
    C’est là l’objet de l’épargne solidaire qui assure financement d’une partie des actions des financeurs solidaires par des citoyens

  3. Pat le Pirate
    3 décembre 2012 @ 1 h 31 min

    De mon expérience professionnelle et si je devais répondre à une grande banque comme HSBC, voici 3 points qui me viendraient à l’esprit:

    0) Certaines institutions de microfinance (IMF) sont rentables financièrement et efficaces dans leurs objectifs de soutien au secteur privé dans les pays en développement et les pays émergents. Elles ont besoin d’être soutenue, et notamment par quelques moyens dont les grandes banques ont un avantage comparatif.

    1) Constatation: à court terme, il serait difficile pour HSBC d’optimiser l’efficacité des micro-crédit en intervenant directement sur le terrain à moins – mais c’est à moyen terme – de se faire aider par des consultants de bons niveaux comme ceux d’ACCIÓN (possibilité de « downscaling »)

    2) Lever plus de fonds (sous forme de placements sicav éthique/microfinance) auprès des clients actifs et soutenir les sociétés spécialisées qui placent et gèrent le risque des fonds d’investissements en microfinance, comme Incofin (Belgique) ou Blue Orchard (Suisse). Elles ont l’expérience technique et le réseau et connaissent les IMF les plus viables.

    3) Soutenir les IMF par des alliances sur des services qui leur coûtent cher et pour lesquels les grosses banques ont déjà un réseau et une infrastructure. Je pense en particulier aux transferts internationaux de fonds (Nord-Sud très courants chez les clients des IMF). Peut-être existe-t-il également des opportunités avec les produits de (micro) assurances dont HSBC est experte.