7 Comments

  1. Maya
    17 août 2011 @ 8 h 10 min

    encore un qui a la mémoire courte…
    le parallèle est ignoble.

    @NeS : je n’aurais pas mieux dit !

  2. in_tox72
    17 août 2011 @ 8 h 22 min

    Chacun se rattrape à sa manière..

  3. ஜCharlie & Bloody Maryஜ
    17 août 2011 @ 8 h 41 min

    Ca veut dire quoi ? Que tu es pour ?

    En espérant que tu ne chopes pas une de ces maladies incurables et hyper douloureuse qui sans les dit « médicaments de confort » est insupportable au quotidien.

    Vive l’euthanasie !

  4. Yannice57
    17 août 2011 @ 9 h 14 min

    Cette comparaison n’a pas de sens. Il n’y a pas à établir de hiérarchie à propos des choix politiques.

  5. jojo57
    17 août 2011 @ 10 h 05 min

    Celui là il manque pas d’ air!! je me demande comment il peut se regarder dans la glace, lui ,cresson et tous les autres!!

  6. pimed
    17 août 2011 @ 11 h 01 min

    Fabius ment, comme tous les socialistes et comme pour le plan B. Il n’a jamais été question de changer le remboursement des traitements pris en charge à 100% mais celui des traitements actullement pris à 35% dans le cadre des ALD. Ce n’est pas tout à fait la meme chose.

  7. Manu31
    17 août 2011 @ 11 h 12 min

    J’ai eu l’occasion de discuter avec plusieurs médecins de cette affaire. Le rôle de Fabius dans ce dossier n’est selon le corps médical pas plus criticable que ça. Partant du principe qu’ils sont quand même très au courant de ce qui s’est passé, je me range de leur côté.

    Pourtant je ne suis pas pro Fabius, loin de là.

    Pour le reste, la Sécu française est morte. Il faudrait peut être arrêter de la maintenir artificiellement en vie et la remplacer. Plus on attend, plus ce sera problématique. Et dans ce domaine, il veut mieux ne pas avoir de loupés.

    Le problème est qu’elle est toujours considérée par les français comme la meilleure du monde, alors qu’elle est une des plus coûteuse et une des moins efficaces. Le lobbying gouvernemental marche à plein régime, soutenu par les syndicats qui bénéficient par la cogestion du truc d’un pouvoir sans rapport avec leur représentativité réelle.