6 Comments

  1. schtitmida
    10 août 2011 @ 2 h 18 min

    Tu en a beaucoup des idées comme celle là ?

  2. Pixolith
    10 août 2011 @ 2 h 44 min

    Ben ouais ça deviendrai comme Haïti mais à cette différence, beaucoup plus de monde viendrais nous aider.. Je pense à l’Amérique, l’Allemagne, l’Angleterre mais aussi à l’Espagne.

    Par contre les assurances ne pourraient rien rembourser.. Il y a déjà bien trop de dettes alors là.. Hahaha la grosse marrade…

    Bise cher Qriste.

  3. Loulou Minou
    10 août 2011 @ 3 h 20 min

    c’est le dieu qui trace l’avenir pas l’être humain

  4. alain K
    10 août 2011 @ 4 h 03 min

    D’abord, pour une telle hypothèse, il faudrait un séisme de très très forte amplitude. Mais admettons que cela se déroule. Dans ce cas, lorsque les assurances se trouvent à devoir couvrir des catastrophes naturelles de très grande ampleur, il y a un fond de garantie qui prend le relais au delà d’une certaine somme. C’est déjà arrivé en France avec certaines inondations dans le sud de la France. Ce fonds est couvert à la fois par de l’argent versé par les assurances, et par l’état, qui prend en charge en dernier ressort les frais correspondants. Il ne peut donc être défaillant.

    En dehors de cela il y aurait nettement moins de personnes ruinées que tu ne le dis. D’abord, une bonne part des biens immobiliers de ces grandes villes appartiennent à des investisseurs institutionnels (offices HLM, Caisse des Dépôts, etc). Une autre part, principalement au niveau des bureaux, appartient à des investisseurs privés qui ont des investissements partout dans le monde. Donc même un catastrophe majeure sur une ville ne peut les ruiner.

    Enfin, en ce qui concerne les petite propriétaires, la question ne se poserait plus, dans la mesure où la quasi totalité seraient morts dans la catastrophe, compte-tenu de son ampleur.

    Enfin, ni Paris, ni Genève ne sont des villes vitales pour l’économie d’un pays. Elles peuvent donc être rasées tout en permettant au reste du pays de continuer à vivre et à prospérer.

  5. daniciray
    10 août 2011 @ 4 h 23 min

    Un scénario catastrophe de cette ampleur est couvert par les assureurs, co-assureurs et ré-assureurs du monde entier. Ensemble, ils ont une solidarité et une solidité financière suffisante.Tout serait donc pris en charge. Mais, comme il est dit plus haut, la probabilité du risque est nulle. Pour l’anecdote, New-york a été fondé par un assureur de l’époque : Peter Stuyvesant. Et il avait pris toutes les mesures du risque…

  6. yurigeo
    10 août 2011 @ 5 h 02 min

    Dans le premier cas de figure, il se vide où le lac Léman???
    Pour le deuxiéme, il est sûr que Paris sera inondé un jour où l’autre.

    NB: les assureurs sont comme les banquiers (c’est les mêmes d’ailleurs), ils encaissent vos cotisations et en cas de gros pépin ils se tournent vers les états pour payer les indemnisations!