15 Comments

  1. Foutage de gueule
    1 août 2011 @ 21 h 08 min

    Comme dit Gaby
    y’en a même pas assez en ville

  2. Tatave
    1 août 2011 @ 21 h 54 min

    non, mais ? tu crois qu’ils ont envie de retrouver leur bled d’origine ?

  3. Envole Moi
    1 août 2011 @ 22 h 30 min

    Déjà y a déjà pas mal de villes en France en manque de médecins qui font des partenariats avec l’Europe de l’Est notamment pour inviter des médecins à y bosser. Et bénéficiant souvent d’avantages relativement alléchants.

    « Donc » stop the music comme dit Rihanna.

  4. Funmi Blackounette
    1 août 2011 @ 22 h 37 min

    parce que meme en ville où la civilisation est en vogue on les voit d’un mauvais oeil…immigré egal incompétent. a croire que le dr « maure » est un immigré

  5. X+Y²
    1 août 2011 @ 23 h 05 min

    On voit bien que t’es pas immigré toi, pour utiliser le verbe « obliger »! On peut aussi obliger les malades comme toi de se faire soigner par un sorcier histoire de baisser la consommation de médicaments.

  6. Utopik du Capricorne
    1 août 2011 @ 23 h 48 min

    Tu veux parler de tous ces véreux , qui leurs études finies en France, n’ont même pas le courage de retourner dans leur région natale ; qui aurait certainement bien besoin d’eux.
    L’attrait du fric est plus fort que celui de leur pays d’origine
    Mais ce sont les premiers à te donner des leçons sur la solidarité et à t’incider a faire des dons pour venir en aide à leur pays defavorisés.
    Belle morale

  7. tejel
    1 août 2011 @ 23 h 55 min

    Et qui va s’occuper des services d’urgence de vos hôpitaux ?
    On ne trouve que des étrangers dans ces services vitaux !
    Heureusement que les immigrés sont là.

    Travailler à leur compte , ils aimeraient bien mais les sournoises lois discriminatoires de ton pays leur interdisent .

    Extrait de l’interview de l’un de ces médecins : Talal Annani, Président du syndicat des praticiens à diplôme hors Union Européenne :

    «Question :
    La France, qui souffre d’un déficit de main d’œuvre dans les hôpitaux, cherche donc des praticiens mais refuse de les reconnaître, c’est bien cela ?

    réponse de Talal Annani :
    Tout à fait. Une étude de démographie médicale du Pr Berland montre que la situation française est désastreuse et qu’elle ne va cesser de s’aggraver. Demain, les départs à la retraite seront supérieurs aux entrées en fac de médecine ! Mais face à cela, l’Etat préfère cantonner les médecins étrangers dans des situations précaires en les soumettant à des contrats renouvelables tous les ans. Le problème est qu’ils sont renouvelés indéfiniment. Sur 7 000 Padhue, 22,7% ont entre 40 et 49 ans, et 72,2% moins de 40 ans. Pour un médecin ayant déjà plusieurs années d’expérience, enchaîner les CDD est extrêmement frustrant : pas de stabilité, pas de possibilité de prêt auprès des banques, aucune évolution de carrière, pas de reconnaissance salariale car à responsabilités équivalentes, un Padhue est rémunéré, en moyenne, 3 fois moins qu’un médecin français. Très souvent, les Padhue sont obligés d’effectuer jusqu’à 20 gardes par mois pour toucher un salaire équivalent à un médecin français qui ne ferait pas de garde ! En plus, ce système ne nous permet jamais d’être responsables : à 40 ans, on est encore considéré comme un jeune interne sous le contrôle du chef de service… Tout ceci est encore une fois très frustrant et très humiliant !

    Question :
    Diriez-vous que la France exploite ces travailleurs étrangers de manière discriminatoire ?

    Réponse de Talal Annani :
    Tout à fait, je dirais même que c’est une précarité volontaire qui a pris un caractère d’esclavage. Et tout cela, au sein d’organismes publics. Mais, aujourd’hui, notre syndicat n’est plus le seul à l’affirmer. En effet, la Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité (Halde), que nous avons saisie en juillet 2005, a rendu une décision fondamentale, le 27 février dernier, qui répond à 40% de nos revendications. « C’est dans l’exploitation faite de leur absence de statut, alors même que leurs responsabilités concrètes sont identiques, que la discrimination à leur égard trouve sa source. Celle-ci s’opère en raison de l’origine, dans l’accès à l’emploi et dans l’emploi », a-t-elle statué. Cette décision est pour nous fondamentale, car elle oblige les politiques à reconnaître notre problème et à ne plus faire l’autruche. De plus, la nouvelle loi sur l’égalité des chances donne à la Halde la possibilité d’imposer aux autorités politiques un délai afin qu’elles traitent la situation. A chaque fois qu’un médecin est embauché dans un hôpital sans qu’il ne bénéficie de la plénitude d’exercice, nous sommes confrontés à une discrimination entretenue par l’Etat ! »
    http://www.afrik.com/article9744.html

  8. rolli
    2 août 2011 @ 0 h 49 min

    Vous ne savez pas tout !
    Les médecins ayant eu leur diplome à l’étranger ne sont pas sur le même pied d’égalité que les médecins Français!
    C’est parfois justifié : les écoles de médecines ne se valent pas toutes, notamment en Afrique, en Europe centrale, au moyen orient.
    Ces médecins ne sont donc le plus souvent employés à l’hopital que comme « faisant fonction », bien entendu, avec un salaire indécent, comparable à celui d’une infirmière !
    Leur plus grosse occupation est le service de garde de nuit, car là, les effectifs sont dramatiquement exsangues !
    Et encore…
    Dans la zone d’influence de l’Assistance Publique des Hopitaux de Paris, il ne fait pas bon d’être extérieur à cette institution : ou on fait partie du sérail (études, internat, spécialités), ou bien l’on est rien…on peut se faire virer au profit d’un des leurs -même si c’est un gros nul-, ne jamais accéder à un poste de chef de service, être condamné à faire le sale boulot, et bien entendu, pas pour le même prix !
    Les médecins étrangers accepteraient sans doute volontiers de s’installer en porvince, si on leur garantit un salaire correct : car dans certaines provinces, la couleur et l’origine, voire la religion, laisseront fermée la porte d’entrée du cabinet !
    Le projet du minsistère, de monter des maisons médicales de proximité, avec garde 7/7 et 24/24, me semble être judicieux !
    Les praticiens établis ne peuvent être trop opposés : en effet, après le patient, ce sont eux, qui depuis la création de la sécurité sociale, ont été bénéficiaires de cet organismes. Il est normal que, en ayant des bénéfices, ils prennent en charge une part du fardeau !

  9. guernica ♪♪ M
    2 août 2011 @ 1 h 09 min

    Moi ce sont les C… que j’aimerais bien envoyer à la campagne, une cure de bon air, on bourre la fermière, on range le foin et on cague dans l’étable
    et après ! tous à table !

  10. pink54
    2 août 2011 @ 1 h 40 min

    ILS N’ONT QU’A REPARTIR CHEZ EUX!!!!
    LA-BAS ILS POURRONT SOIGNER CEUX DE LEUR NATIONALITÉ CAR Y A BESOIN!!!

  11. Mohamed Kacimo
    2 août 2011 @ 2 h 40 min

    Pourquoi obliger les médecins immigrés seulement, tous les médecin qui ont terminé leurs cursus doivent aller à la campagne pendant au moins 2 années consécutives (service civil ) obligatoires.

  12. globuli
    2 août 2011 @ 2 h 57 min

    tu vois le péquenot de la brousse « Française » Mosieur qui voit débouler un médecin non indigène, il prend le fusil le blaireau!
    croyant affaire a un karcherisé

  13. Pauline
    2 août 2011 @ 3 h 52 min

    Il y en a

  14. cehelle
    2 août 2011 @ 4 h 01 min

    Je me souviens d’un reportage sur une petite ville de France qui n’avait pas ou plus de médecin, elle a investi dans un cabinet flambant neuf, ce qui n’était pas rien pour son budget, un médecin originaire des pays de l’est est venu s’y installer et au bout de quelques mois il a mis les voiles avec tout le matériel.

  15. fugenjikko
    2 août 2011 @ 4 h 09 min

    Les diplômes obtenus à l’étranger ne sont, bien souvent, pas équivalents à ceux « autochtones ». Ce qui oblige ces médecins à se mettre « à niveau ». Cela est tout à fait normal. Un exemple : ma soeur, pharmacienne, a été obligée, lors de son arrivée aux States (elle a épousé un Américain) de refaire deux années pour repasser ses examens sur place ; pire encore, pour exercer dans un autre état (du Missouri à la Californie), elle a encore dû passer de nouvelles épreuves (du fait des différences de lois d’un état à un autre).
    Le réel souci est, bien souvent, la méconnaissance de la langue et des lois spécifiques du pays d’accueil. Un stage d’un an ou deux dans un service hospitalier ne peut être que bénéfique.