Que pensez vous des prets à risques « subprime »?
Question by domaniedomani: Que pensez vous des prets à risques « subprime »?
PRETS HYPOTHECAIRES A RISQUES
« SUBPRIME »
« TAXI – BANQUEROUTE – CAVALERIE »
LEGALISES
LE G8 FINANCIER DE LA BIDOUILLE FRAUDULEUSE
Lorsque le Gouvernement Américain a besoin de « cash » il demande aux banks de faire de la liquidité. Comment faire de la liquidité lorsque les gens ne peuvent pas s’engager à mettre de la liquidité sur le marché faute de « cash » et bien l’on met en place des prêts hypothécaires à taux privilégiés!
Les gens qui n’ont pas la possibilité ordinairement à l’accès au crédit, se précipitent dessus et sur la globalité du flux monétaire engendré mais aussi du risque généré, les banks mobilisent pour un laps de temps le cash nécessaire et utile dans ce flux artificiel, qui a dit « CAVALERIE » !
Tanpis si un fort pourcentage d’emprunteurs ne satisfont pas à leurs échéances le flux financier circulant est suffisant pour libérer de la liquidité sur le moyen terme. Mais des millions de foyers qui ne paient pas au même moment, sans que cela se sache avant, c’est étrange Non… !
Lorsque le risque augmente les banks Américaines vendent leurs « paquets » de crédits hypothécaires à des opérateurs extérieurs, « les banques Européennes » qui si elles sont timorées pour aider les industriels performants et rentables ;
se jettent littéralement sur ces « paquets » à bas prix, soit disant garantis provenant du marché et de banks Américaines.
Ces « paquets pourris » que nos banques s’arrachent ne sont ni plus ni moins qu’un schéma financier répréhensible par la loi que l’on pourrait assimiler et nommer « TAXI » bien connu des banques et des bidouilleurs de fausses factures, tant que cela tourne tout le monde n’y voit que du feu « mais le bidon est là » il suffit qu’il y est un élément qui n’honore pas le paiement et « PAF » tout explose en chaine. C’est ce qu’il se passe avec le « SUBPRIME ».
Aujourd’hui 7 ans après l’émission de ces prêts hypothécaires « Subprime » la majeure partie des contractants ne peuvent satisfaire aux remboursements et les Banks Américaines, les fonds de pensions et Assureurs s’affolent il manquera de la liquidité autrement dit l’on a repousser l’échéance de sept ans et le « CLASH » est là, un trou béant, cela se nomme « BANQUEROUTE » .
TAXI – BANQUEROUTE – CAVALERIE… ! Voila trois qualificatifs qui enverraient le commun des mortels sous les barreaux et si pas malheur il s’agissait d’un chef d’entreprise en plus des barreaux on le trainerait dans la boue lui et sa famille l’accusant de tous les maux… !
Et la RIEN que NENI, aujourd’hui 13 Aout 2007, la BCE a injectée en 8 jours plus de 200 milliards d’euros , la FED Américaine 119 milliards d’euros et la banque centrale Japonaise prévoit d’investir 6, 2 milliards soit au total = + de 325 milliards d’euros .
325 milliards d’euros et pour qui… ! Les banks qui font du « TAXI » entre elles, les compagnies d’assurances gavées de cash qui jouent aux banques, a investir et réassurer les « paquets a risques » bravo, belle gestion, on voit le résultat… !
Et que font nos Banques Centrales, elles font des appels d’offres « appels d’auto-couverture auprès des banques qui sont en état de risque de banqueroute », nous émettons du cash sur le marché pour vous couvrir si vous vous engagez, vous banks à rétablir la situation à terme, en clair on prend les mêmes et on recommence, qui plus est avec le même système …On se fout du monde !
Ou vont-elles trouver la liquidité nécessaire si ce n’est que de réinstaurer une procédure de « TAXI et de CAVALERIE » ou bien, émission d’emprunts, sicav « au nom déjà prédestiné » et autres artifices qui n’auront aucuns effets curatifs…
Et qui paiera ???
Déjà le Qatar qui a payé 152 millions d’euros pour la libération des infirmières Bulgares prisonnières en Lybie devrait se faire du souci car c’est la BCE qui doit le rembourser.
En conclusion :
Le « TAXI » est répréhensible par la loi, issue classique, faillite, mise en examen, liquidation, séquestration des biens, suspension des droits civiques et emprisonnement des responsables.
La « BANQUEROUTE » est répréhensible mais prévisible, donc issue, mise en examen, liquidation, séquestration des biens, suspension des droits civiques et emprisonnement des responsables.
La « CAVALERIE » est répréhensible mais prévisible, donc issue, mise en examen, liquidation, séquestration des biens, suspension des droits civiques et emprisonnement des responsables.
Mais là, NON, l’on redonne de la liquidité « aux fraudeurs », on fait beaucoup de bruit sur le système pour affoler les épargnants mais sans divulguer les vraies raisons « en plus ils sont tous en vacances » on aurait pu attendre la rentrée pour faire un peu plus de « bordel » non juste en AOUT, curieux non… !
Et ni vu ni connu on lance la planche à billets et l’on va étouffer la Grosse Magouille… !
Ils sont beaux nos Banquiers ! Et de surcroit ils font les mijaurées lors de transfert internationaux « Vous êtes certain que l’argent n’est pas de l’argent sale ? » Mais quels faux culs. Ha, et en plus ils disent tous « ah mais non nous en France ont est tranquille on est très peu engagés » la BNP bloque 3 fonds sur ce secteur, AXA et SG se positionne à geler aussi, mais ils gèlent quoi se qu’ils ont déjà perdu ! et plus, plus elles disent l’on va très bien, plus on tend vers alors elles sont prisent à la gorge.
Qui ne se souvient pas des paroles de Jean-Marie Messier patron de notre « fleuron » industriel la CGE/VIVENDI , « nous allons mieux que bien » société cautionné » dans sa fuite en avant par les mêmes Banques Françaises qui crient haut et fort aujourd’hui « Pas de risque pour nous » s’ils le disent effectivement il y a du soucis à ce faire.
Tiens, mais ou sont nos Bons Juges ceux qui soit disant prônent la loi et la protection du bien et du citoyen, en Vacances ou Absents de la question, habituellement ils prennent leurs infos dans la presse faute d’avoir la capacité de faire autrement.
Ici ils ne peuvent pas dire qu’ils n’ont rien entendu…. ! bravo… !
On appelle cela le libre échange économique. Mais de qui se moque t on !
Si l’on ne peut plus se fier aux banques ni aux assurances ni aux fonds de pensions ni à la justice ni à la déontologie ni a l’éthique alors ou va-t-on ???
Espérons que des têtes tomberont sur les places financières, juste pour faire un peu de ménage de circonstances y compris au sein et à la tête des Banques Centrales, l’association au TAXI, à la BANQUEROUTE, à la CAVALERIE, usage de fonds publics à destination d’opérations frauduleuses est également répréhensible par la loi.
Attendez ce n’est pas terminé, qui plus est si les Chinois liquide les stocks de dollars et bons du trésor Américains 1000 milliards de USD et 407 milliards de BDT Ca va chauffer dans le Landernau et les planches à Biffetons aussi , Chaud devant, Chaud derrière, Chaud, Chaud on est tous Marrons !
Ne nous laissons pas faire par les tailleurs de bourses, A BON ENTENDEUR … !
ZORRO, (un citoyen en Noir opposé à un chèque en Blanc)
NB : Ah bien oui quand même, je signe incognito, sinon j’ai tous les ZO ZO sur le dos, laissez moi juste le temps de retrouver mon ile « offshore », Fouette cocher … !!
Best answer:
Answer by bayousara
Je crois que ton texte est trop long et que les ricains sont prêt à tout pour se faire du pognon même si les poches sont vides.
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boum
20 juillet 2011 @ 12 h 06 min
c’est un peu long come exposé,…mais c’est tout a fait exact.
et ceux qui vont le payer ne vont peut être pas être les banques(qui ne veulent pas payer..) ni même les contractants(qui ne peuvent pas payer!) mais les sociétaires et actionnaires, qu’ils soient particuliers iou entreprises…
anticonns
20 juillet 2011 @ 13 h 00 min
Excellent !!! Bravo !
fatouma n
20 juillet 2011 @ 13 h 06 min
Un « subprime » est une forme de crédit hypothécaire, apparue aux États-Unis ; destiné aux emprunteurs à risque, ce crédit immobilier est cautionné sur le logement de l’emprunteur.
Le terme est un dérivé de prime lending rate, qui est le taux d’intérêt accordé aux emprunteurs les plus fiables. Prime lending désigne ainsi les crédits accordés aux emprunteurs fiables, et Subprime lending les crédits accordés aux emprunteurs à risque.
Ce type de prêt est consenti à des ménages, souvent à faible revenu, qui ont eu des retards de paiements (voire des défauts de paiement) par le passé. Il s’avère plus risqué pour le prêteur : la probabilité de défaut plus élevée des emprunteurs implique un plus grand risque de perte de la mise. Par conséquent, en contrepartie de critères d’attributions plus souples que les prêts classiques, le taux d’intérêt est plus élevé, tout en étant variable dans le temps (le taux est indexé sur le taux directeur de la banque centrale américaine, après un taux promotionnel initial très bas), ce qui rend ce type de prêt plus rentable pour l’investisseur.
Ce type de prêt est apparu aux États-Unis dans une période de croissance du marché immobilier, et s’est avéré dans ce contexte particulièrement lucratif, ce qui l’a fait largement promouvoir et adopter. En effet, tant que la valeur moyenne des logements augmentait, la défaillance d’un emprunteur permettait au prêteur de se rembourser assez facilement sur la revente du bien immobilier, ce qui rendait le risque pris très acceptable.
Cependant, en 2004, le taux directeur de la Réserve fédérale s’est mis à augmenter : il est ainsi passé de 1% en 2004 à plus de 5% en 2007. Cette hausse des taux a entraîné une hausse des remboursements, et certains ménages ont commencé à ne plus pouvoir faire face à leurs dettes.
Ensuite, à partir de 2006, le marché immobilier américain est entré dans une crise, faisant baisser les prix des logements. Dans ce contexte, en cas de défaillance de l’emprunteur, le prêteur n’arrive donc plus à recouvrer la totalité de sa créance en revendant le bien immobilier. A la faillite personnelle des emprunteurs s’est donc ajoutée une série de graves difficultés financières pour les prêteurs et certains de leurs banquiers.
La combinaison des deux facteurs a conduit, à l’été 2007, à une crise financière internationale. En effet, la rentabilité de ce type de prêt a conduit de nombreux organismes de prêt à les proposer. En même temps, des titres représentatifs de ces subprimes se négocient sur le marché des prêts hypothécaires. La crise connue par les prêteurs s’est donc répercutée sur les marchés financiers, en raison de l’explosion des créances douteuses révélées par les organismes prêteurs.
Utopie
20 juillet 2011 @ 13 h 17 min
Un instrument pour plumer les pauvres jusqu’au dernier radis.
La preuve dans cet article:
http://www.liberation.fr/actualite/evenement/evenement1/271804.FR.php?rss=true
C’est comme le crédit révolving à 19% l’an: moins tu as d’argent d’avance (puisque tu empruntes) plus on t’en prend