14 Comments

  1. Elisa
    4 juin 2011 @ 18 h 39 min

    moi ça me fait mal d’entendre cet homme et que personne ne s’étonne…
    Pourtant il a été élu…

  2. roni_ronou
    4 juin 2011 @ 19 h 17 min

    Pouquoi ils n’ont pas demissionnés, ou n’ont pas fait le necessaire pour se faire virer?, ce n’est pas terrible mais c’est toujours moins pire que le suicide, ils auraient du mettre des claques à leurs superieurs!

  3. nou_pagadi
    4 juin 2011 @ 19 h 22 min

    oui…
    Et voici un autre exemple… Heures sups obligatoires chez Peugeot !
    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2008/01/05/01011-20080105FILWWW00315-heures-sup-obligatoires-chez-peugeot.php

  4. bourrik74
    4 juin 2011 @ 20 h 15 min

    Parce que vous pensez sérieusement que les conditions de travail auraient été différentes si la gauche avait été au pouvoir?
    soyez réalistes et objectifs pour une fois…faut pas tout melanger

  5. Segelflieger
    4 juin 2011 @ 21 h 04 min

    Consommer moins pour dépenser moins pour travailler moins pour vivre mieux !

  6. Max de retour! soutien les Profs
    4 juin 2011 @ 21 h 18 min

    Et dire qu’on nous fait croire que c’est les salariés qui choisissent !!

    Bonne journée
    Max

  7. Paulot de Paris
    4 juin 2011 @ 22 h 15 min

    Le passage des 40 aux 39 heures, puis des 39 aux 35 heures, a-t-il fait baisser le taux de suicides ?
    Si oui, alors il faut en effet travailler moins pour moins mourir.
    Si non, si la baisse du nombre d’heures a provoqué plus de suicides, alors il faut travailler plus pour moins mourir.

    Mais il est possible aussi que ça n’ait aucun rapport.

  8. a raison
    4 juin 2011 @ 22 h 27 min

    Au moins, aux temps des goulags on cachait les morts…

  9. Jack25
    4 juin 2011 @ 23 h 19 min

    déjà c’est pas Sarko qui était président entre nov 2006 et février 2007, ensuite ces suicides existent malheureusement , ils existaient aussi sous Jospin…..Ils existent dans la population générale vous savez, mème chez les patrons……., chez les jeunes etc…..Qu’est ce qui pousse ensuite un homme à se suicider…? les raisons sont souvent complexes et multiples. Je vous signale que des tas de gens se sentent bien dans leur boulot et y trouvent mème un épanouissement , vous allez chercher 3 cas de suicide évidemment, ça ne reflète pas l’état d’esprit et heureusement de la majorité.

  10. gus
    5 juin 2011 @ 0 h 05 min

    Personne ne les obligeait à rester dans un travail qui ne leur convenait pas.

    Ils avaient un autre problème

  11. kratochwill r
    5 juin 2011 @ 0 h 32 min

    jai une pensée à ces pauvres travaileurs.J’espère que la justice punisse ces patrons voyous.
    Déja sarko nous dresse les uns contre les autres pour mieux régner entre privés/publics.
    Je fais grève aujourdhui pour soutenir ceux qui galèrents aux travaileurs sont harcelés moralement et pour contester le capitalitse medef patrons voyous.

  12. Nicolas X adore les carlins
    5 juin 2011 @ 0 h 40 min

    Tu préfères passer ta vie à glander ? Discuter ? Faire de la politique ? Polémiquer ? Réfléchir ? …

    Et le travail, tu n’aimes pas ça ?

    Pauvre gauchiste primitif. Si leur travail ne leur plaisait pas ils n’avaient qu’à changer.

  13. fiannae
    5 juin 2011 @ 1 h 15 min

    @ronronet nicolasX : la surcharge de travail, que ce soit en termes d’heures ou de densité, amoindrit tes capacités mentales… il est difficile de prendre du recul par rapport à certaines situations d’autant plus lorsque ton éducation t’a appris à endurer, à contrôler tes émotions, à te surpasser… et que tu as une famille à nourrir…

    Ces situations existent depuis longtemps. Elles ont tendance à s’aggraver malgré la loi sur le harcèlement et la Halde (votée et décidée sous un gvt de droite). Même si vous pointez, c’est possible aussi en tant que cadre, vous emmenez du travail chez vous afin d’atteindre ces foutus objectifs. Les raisons de ces suicides posent donc avec encore plus d’acuité la pertinence d’évaluer la charge de travail qu’en termes d’horaires et les dérives de méthodes managériales.

    A quand les résultats des cogitations de nos partenaires sociaux sur la pénibilité au travail y compris psychique, afin de dénoncer avec virulence ces situations et le coût élévé pour la communauté de leur impact (maladie, mort, chômage, voire destruction d’une famille).

  14. mounette
    5 juin 2011 @ 1 h 44 min

    pauvre chéri
    nous faisions 8heures par jour 7jours sur 8, il y a 40ans tout le monde ce serrait suicidé, les gens de votre génération son devenus gnan gnan
    pauvre France