Comment préserver l’intégrité de mon salon lors d’ébats érotiques?
Question by Stephanus RoCk ThE cAsBaH: Comment préserver l’intégrité de mon salon lors d’ébats érotiques?
Bonsoir à vous,
Après une nuit agitée au cours de laquelle je n’ai rêvé que de travail, j’essaie de prendre peu à peu de la distance, et de me mettre en bonne condition pour savourer les quelques jours de vacances qui vont s’offrir à moi .
J’ai profité de cette première journée de congés pour flâner un peu dans les rue du Mans (72), et j’ai eu la surprise d’y rencontrer Samuel, un vieux camarade de promotion dont j’avais perdu la trace, mais avec qui je m’étais toujours bien entendu au cours de nos années universitaires. Je l’ai tout de suite reconnu, car il n’a presque pas changé depuis 15 ans, bien que ses traits se soient affinés, lui dont le visage était si ingrat, avec son nez pointu et ses joues saillantes (il a des racines israélites, comme son prénom le laisse sous-entendre).
Après m’avoir longuement dévisagé, Samuel est venu vers moi, et m’a spontanément serré la main, pour me signifier qu’il m’avait reconnnu. Il était seul et avait un peu de temps devant lui, ce qui nous a permis d’aller boire une bière dans un café de la préfecture sarthoise (Le Mans).
Samuel m’a expliqué qu’il occupait un poste de responsable qualité dans une usine de charcuterie de la banlieue du Mans (préfecture sarthoise). Je lui ai fait part à mon tour de mon brillant parcours professionnel, en lui indiquant que je travaillais dorénavant dans les assurances.
Toujours enclin à parler pognon, Samuel n’a pas résisté à l’envie de quémander des informations sur mon salaire et mes biens immobiliers. Lorsque je lui ai dit que j’avais une voiture allemande de type quatre roues motrices, mais que je n’étais que locataire d’un modeste appartement T3, il a écarquillé les yeux et a eu l’air supris. Il m’a alors avoué qu’il possédait plusieurs voitures de luxe, ainsi que deux appartements, dont un à la Grande Motte, ce qui – selon ses dires – lui donne « l’occasion d’en fourrer pas mal » (des mottes). Lorsque j’ai voulu en savoir un peu plus sur les secrets de sa fortune, il a d’abord eu l’air gêné puis, se rappelant de notre amitié d’antan et de la confiance que nous nous vouions mutuellement, Samuel m’a murmuré à l’oreille qu’il arrondissait ses fins de mois « en tournant dans des boulards » (sic), ce qui lui permettait d’abonder de manière confortable son Compte Epargne Logement. J’ai vraiment été surpris par cette révélation, qui m’a laissée sans voix, et je dois vous dire que j’ai eu du mal à imaginer Samuel en train de tarauder – avec son sexe circoncis – le vagin gluant d’une actrice soumise, le tout devant une caméra et un chef opérateur. Devant mon étonnement et mon mutisme, Samuel m’a indiqué qu’il s’agissait d’une activité comme une autre, qui avait le bon goût d’allier l’utile à l’agréable. Puis il m’a détaillé toutes ses prouesses techniques et ses pratiques peu ordinaires, dont je n’oserais vous faire état ici. Tout ce que je peux vous dire, c’est qu’il joue dans des films où des femmes se prennent toutes sortes de choses dans toutes sortes d’orifices. Prétextant un rendez-vous chez mon dentiste, j’ai alors pris congé de Samuel, en faisant bien attention à ne pas lui serrer la main, ne sachant pas trop dans quel fion béant elle avait pu trainer.
De retour chez moi, je me suis mis à réflechir aux révélations de mon ami, et j’ai considéré qu’il pourrait effectivement être intéressant de me constituer par ce biais un petit pécule, qui viendrait en complément de mon salaire et me permettrait de vivre pleinement en dépensant sans compter. Mais plutôt que de postuler auprès de producteurs et réalisateurs peu scrupuleux, toujours enclin à ponctionner l’argent qui revient de droit aux acteurs, je me suis dit qu’une solution plus avantageuse pourrait être de tourner mes propres films pornographiques à domicile.
Pour ce qui concerne le matériel, je pense avoir ce qu’il faut, étant en possession d’un camescope numérique haute définition. Par contre, je me pose quelques questions d’ordre technico-hygiénique.
En effet, j’envisage de tourner mes scènes olé-olé dans le salon, qui constitue la pièce la plus lumineuse de mon appartement. Malheureusement, le sol est revêtu de moquette, et je n’ai pas du tout envie de la salir.
Ceci m’amène donc à solliciter vos connaissances en la matière : pensez-vous qu’une tache de foutre puisse tacher un tel revêtement ? Le cas échéant, existe-t-il un remède miracle, de type détachant « spécial cyrpine » ou équivalent ?
Une solution alternative pourrait être de bâcher la pièce préalablement aux tournages. Cependant, le frottement d’un fessier sur une matière caoutchouteuse ne risque-t-il pas d’occasionner des brûlures douloureuses ?
Enfin, si je choisis cette option, pensez-vous qu’un simple bâchage du sol soit suffisant ? N’y aurait-t’il pas risque qu’un jet de liquide séminal, consécutif à une excitation trop intense, ne vienne souiller la tapisserie ou la nappe du guéridon ?
Je vous remercie par avance de bien vouloir me faire part de vos expériences en la matière.
Best answer:
Answer by Lucille
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@ Je n’étais pas sans voix, je réfléchissais !
1°) Vous ne vous êtes jamais fait tringlé sur de la moquette, je vous avoue que ça brûle encore plus efficacement que le plastique !
2°) Je vous interdis de faire appel à moi !
3°) Non, je n’ai pas de copines !
4°) Vous ferirez bien de visionner les films de votre ami Samuel au préalable, parce que les potentiels clients n’achèteront certainement pas un porno amateur pour regarder un minable missionnaire de 3 minutes !
5°) Je suis au bord de la rupture !
6°) Je ne vous félicite pas !!
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JC, L'Espion
21 mai 2011 @ 2 h 22 min
Je suis amoureux de ma voisine, la dernière fois, qu’elle m’a adressé la parole, ce fut pour me dire :
« Espèce, de grand imbécile, rentrez vos couilles, elles passent par la jambe de votre short ».
Pourriez-vous lui écrire, une lettre d’amour, que je recopierai et que j’irai glisser dans sa boîte aux lettres ?
gama
21 mai 2011 @ 3 h 06 min
Tu place une deuxième moquette pour protéger la première.
Ceci dit fait nous profiter de tes œuvres mdr
akgb2006
21 mai 2011 @ 3 h 45 min
t’es sérieuse toi au moins , tu préfère perdre toute dignité ?
Prof Nico en Rilévi
21 mai 2011 @ 4 h 20 min
Cher Stephanus,
Qu’avez-vous contre les israëlites qui travaillent dans les usines de cochons kashers ?
Gros Tas
21 mai 2011 @ 5 h 06 min
Avant une partouze, je recouvre le sol de mon salon avec les boites à pizza qui s’entassent à coté de la poubelle. Il faut juste éviter de se foutre de la tomate partout, mais on peut rigoler à peu de frais avec les olives.
BelgarathV the return of dragon
21 mai 2011 @ 5 h 41 min
tendre une bâche ou faire ça dans la cuisine ^^
Chє Guєvara ๑۩۞۩๑
21 mai 2011 @ 6 h 22 min
Cher Stephanus,
Si vous êtes également prêt à vous en recevoir dans le fion, ce que votre père appréciera sûrement lorsqu’i visionnera vos exploits artistiques, il n’y a pas de différence !
Puor l’info, le sperme ne tâche pas !
enfin ça part bien au lavage !
glandulf
21 mai 2011 @ 6 h 33 min
Alors après, tu loues une shampooineuse à moquette, et ta toison sera rutilante comme au premier jour !