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  1. primavera8947
    17 mai 2011 @ 6 h 06 min

    Si l’augmentation se poursuit comme elle le fait depuis presque un siècle, nos enfants devraient pouvoir vivre jusqu’à 120 ans au moins. Mais ce sera réservé aux riches.

    Ce qui est le plus important de savoir est : dans quelles conditions de santé, financières, etc…

    Il y a de moins en moins de médecins, qui ont de moins bons diagnostics (prendre une intoxication alimentaire pour une crise de panique et envoyer quelqu’un en hôpital psychiatrique est grave, surtout lorsqu’on n’a pas fait d’examen clinique de la personne parce qu’on était trop paresseux pour cela !!)… On a déjà une médecine à deux vitesses et cela va s’accentuer.
    Là encore, une médecine de pointe pour les riches, et à peine des dispensaires pour les pauvres. Déjà, on commence à autoriser l’auto-médication, alors que jusque récemment, c’était complètement interdit. Nous allons nous soigner nous mêmes, alors que nous n’avons pas étudié pour cela, nous n’avons aucune idée des allergies et de leurs mélanges entre plus de 2 médicaments, et cela pour faire faire des économies à la Sécurité Sociale.

    Ce sera une économie du même type que les 15’000 décès de la canicule. On mourra plus vite car on sera, enfin, admis éventuellement dans un hôpital pour pauvres, avec des médecins et du personnel de seconde zone, comme cela existe déjà dans les zones de non-droit, peu avant de mourir, donc trop tard.

    Or dans ces zones de non-droit, on a le droit d’être soigné correctement et il y a des gens très bien qui ont le seul tort de ne pas avoir beaucoup d’argent. Ils n’ont pas mérité ce mépris pour la vie.
    Les retraites vont diminuer puisqu’au lieu de laisser travailler les gens plus longtemps, ou prendre un second job pour améliorer leurs retraites d’Etat et complémentaire, on l’interdit, au contraire de nombreux états avec, comme d’habitude en France, des amendes, des punitions comme si loes Français avaient moins de 3 ans. Le résultat final sera un nombre infini de SDF pour lesquels on ne fera rien, en raison de l’indifférence déjà très grande aujourd’hui, des riches, et de la seule âpreté au gain des médecins, qui existe déjà aujourd’hui.