11 Comments

  1. lorelinanea
    13 avril 2011 @ 4 h 32 min

    Alors là c’est un scoop. Il ne manquait plus que çà. A moi çà ne m’est jamais arrivé.

  2. ngapali
    13 avril 2011 @ 5 h 25 min

    non

  3. nonodellavista
    13 avril 2011 @ 6 h 20 min

    La maison risque de leur appartenir en cas de non paiement.
    Ils regardent s’ils ont fait une affaire.

  4. l'extra terrestre
    13 avril 2011 @ 6 h 59 min

    y a beaucoup de magouilles ce qui explique ça, ceci dit c’est pas une chose indispensable si on a toute les garanties necessaires que l’empeinteur remboursera son pret

  5. amidou
    13 avril 2011 @ 7 h 38 min

    oui les banquiers c’est des bailleurs de fonds, il donnent d’une main et reprennent de l’autre, donc ils doivent connaître où ils vont placer leur prêt.

  6. Fayace
    13 avril 2011 @ 8 h 24 min

    j’ai jamais entendu parler de ça, je ne pense pas qu’ils aient le droit mais legalement je ne sais pas jusqu’ou vont leurs fonctions, en tout cas ca me semble bien étrange

  7. Thalia
    13 avril 2011 @ 8 h 51 min

    Mais bien sûr il doit avoir là où il peut trouver son argent dans le vous où vous n’avez pas la capacité de payer.

  8. lolita
    13 avril 2011 @ 9 h 34 min

    je n’avai jamai vu sa avan je croi pa ke se soi normal apres je peu me tromper

  9. krysshaz
    13 avril 2011 @ 9 h 56 min

    oui le banquier peut demander à voir le bien acheté et qui sera remis en garantie via une hypothèque…si l’emprunteur ne rembourse pas il doit être sur que la valeur du bien lui permettra de récupérer les fond

    c’est d’autant plus valable en cemoment que les prix de l’immobilier ont fait un bond énorme et que certains vendeurs ne lésinent pas sur les priix de vente

  10. ladynathg
    13 avril 2011 @ 10 h 46 min

    Je trouve celà normal, celà prouve déjà que la maison existe et qu’il ne s’agit pas d’une arnaque..

  11. chanchan
    13 avril 2011 @ 11 h 36 min

    Ce n’est pas normal mais ils procédent tous plus ou moins ainsi pour s’assurer qu’ils ne placent pas leur fond de commerce dans une cause perdue! et nous n’avons pas le choix.