3 Comments

  1. Lea
    23 mars 2011 @ 2 h 31 min

    On les découvre lorsque surviennent les sinistres!

  2. Kait.
    23 mars 2011 @ 3 h 02 min

    On prends un contrat et on ne le lis pas, alors dès le premier sinistre on est pas content.
    Car il manque des garanties, on croyais avoir un Tous Risques et on a qu’un Tiers, ou la franchise est trop élevée.

    Toujours lire les conditions particulières sur l’intercalaire, mais aussi les conditions générales sur la police d’assurance et ne pas oublier de la demander.

    Certains assureurs il y a des petites lignes, chez d’autres non c’est plus clair.

    Problème d’oubli de payer sa cotisation, alors on est suspendu ou résilié, et bien sur le sinistre n’est pas pris en charge.

    Les délits de fuite, personne ne laisse d’adresse en cas d’accrochage et l’assuré en Tous Risque n’est pas content qu’on lui retienne une franchise, mais vers qui se retourner dans ce cas ?.
    S’il n’est qu’au Tiers il a tout pour lui, donc mécontentement.

    Problèmes avec les experts, car souvent on crois que sa voiture vaut plus qu’elle n’est, et on se retrouve avec un véhicule épave, et on ne touche pas assez pour en racheter un autre.

    Les constats sont parfois mal rempli et l’assuré qui n’était pas responsable, se retrouve responsable en totalité ou partiellement responsable.

    Bien rempli le constat, bien mettre les croix au bon endroit, bien faire le croquis des véhicules.

    A savoir que ce n’est que le recto du constat qui compte pour déterminer la responsabilité, pas le verso.

    Le verso sert uniquement à chaque assureur en complément.

  3. Quentin Pascal
    23 mars 2011 @ 3 h 35 min

    Le défaut d’information (dans un sens, comme dans l’autre)

    L’assureur à une obligation d’information clairement défini par la loi, sur le contenu de ses contrats, ses garanties, ses exclusions etc…
    mais l’assuré à une obligation lui aussi de loyauté dans la délivrance des informations au moment de souscrire le contrat, mais aussi et surtout pendant la vie du contrat.

    Il est fréquent de constater qu’un assuré à oublier (souvent involontairement) de déclarer un autre conducteur (sauf pour les jeunes conducteurs régulier ou là c’est souvent du domaine de la fraude), un usage professionnel du véhicule, et là, les emm*rdes commencent.
    L’assureur va utiliser un tel prétexte pour refuser sa garantie (il lui faut quand même apporter la preuve évidente de la mauvaise foi du client) pour ne pas payer, ou si cet oubli est juste involontaire et sans grande conséquence, il réduira vraisemblablement l’indemnité.
    Dans l’un et dans l’autre cas, le divorce est prononcé ! !

    Actuellement, avec l’envolé spectaculaire des points et donc des permis, (vitesse, alcoolémie, etc..) de nombreux automobilistes « oublient » de prévenir leur assurance.
    C’est actuellement, avec la fraude aux assurances un gros point noir qui posent problèmes à toutes les compagnies.
    Car, aussi étonnant que cela puisse paraître, on accuse souvent les assureurs de ne jamais vouloir payer, de tout faire pour refuser un sinistre, mais on oublie trop souvent qu’un bon nombre de sinistres sont litigieux voir frauduleux, ou majorés pour toucher plus de l’assurance (puisque l’expert essaie de son côté de payer moins, persuadé que le client essaie de toucher plus….et inversement)

    Il n’y a pas de bonnes ou de mauvaises compagnies (elles sont tellement surveillées et contrôlés), mais des contrats qui sont devenus trop souvent du prêt à porter, et donc mal adapté, alors que dans bien des cas, le client est persuadé d’avoir acheté du sur-mesure.
    Cela existe depuis toujours, mais c’est encore plus vrai aujourd’hui avec les nouveaux canaux de vente (internet, comparateur de prix,… mais pas de contenu) que notre profession va être encore plus exposé aux problèmes.

    Et que ce soit l’automobile ou les autres risques, contrairement à une idée un peu répandue, les fusions ou acquisitions, regroupements, que les compagnies font pour gagner en puissance, suppriment autant d’acteur qui permettait d’avoir une vrai concurrence, sur les produits et sur les prix.
    Bientôt d’autres problèmes en perspective, car des futures monopoles sont en train de voir le jour, et le client n’aura plus grand mot à dire, juste subir.